LES COMPLICATIONS ET GROSSESSES À RISQUES

 

La plupart  des grossesses se déroulent sans problème. Les informations qui vont suivre vont décrire certains problèmes qui peuvent survenir au cours de la grossesse. Il faut les lire sans vous inquiéter, en gardant bien à l’esprit que, dans la très grande majorité des cas, tout se passe bien.

 

Une femme enceinte est particulièrement sensible aux évènements malheureux qui peuvent se dérouler autour d’elle. Sachez vous protéger en essayant de privilégier les pensées positives et les moments calmes. Si vous savez préserver votre bébé en respectant une hygiène de vie adaptée, dites-vous que vous faites tout ce qui est en votre pouvoir pour le bien-être de votre bébé. Et lâchez prise. Laissez la nature faire son travail car, en général, elle le fait bien.

 

Grossesse extra-utérine

 

Qu’est-ce qu’une grossesse extra-utérine ?

 

Une grossesse normale se développe dans l’utérus : l’œuf progresse dans les trompes pendant les 7 premiers jours de gestation, puis s’installe à l’intérieur de l’utérus.

Il arrive parfois que la grossesse ne débute pas au bon endroit. On parle alors de grossesse « extra-utérine », car l’œuf reste dans les trompes et ne s’implante pas à l’intérieur de l’utérus. La grossesse n’est pas viable, et si le corps ne la stoppe pas spontanément, le développement de l’œuf peut-être dangereux pour la maman. En effet, la trompe dans laquelle l’œuf séjourne et grossit peut se rompre et provoquer une hémorragie, ce qui peut-être grave pour la santé de la maman.

 

Quelles sont les principales causes d’une grossesse extra-utérine ?

 

Lorsqu’on cherche les raisons d’une grossesse extra-utérine, on trouve généralement :

  • Des antécédents d’infections sexuellement transmissibles.
  • Le tabagisme.
  • Un antécédent de grossesse extra-utérine (si vous avez déjà eu une grossesse de ce type, il est donc indispensable d’être suivie de façon précoce).
  • L’usage de pilules microprogestatives : ces pilules modifient la texture de la paroi utérine.
  • Un antécédent d’endométriose.
  • Un antécédent de chirurgie pelvienne.

 

Contrairement aux idées reçues, le stérilet n’augmente pas le risque de grossesse extra-utérine.

 

Comment évolue une grossesse extra-utérine ?

 

La grossesse extra-utérine peut évoluer vers une expulsion spontanée, une stagnation ou une croissance provoquant la rupture du sac gestationnel et notamment de la trompe.

 

Dans tous les cas, le diagnostic de grossesse extra-utérine nécessite une surveillance régulière jusqu’à ce que l’on constate la baisse de l’hormone de grossesse. Votre traitement sera fonction de votre état clinique et de l’évolution de la situation. Celui-ci sera médical ou chirurgical.

 

Comment détecte-t-on une grossesse extra-utérine ?

 

Au départ, les signes sont identiques à ceux d’une grossesse : vous n’avez plus vos règles, le test acheté en pharmacie est positif. Cependant, d’autres symptômes peuvent alerter et doivent vous conduire à consulter un médecin :

  • Saignements, le plus de couleur marron, après un retard de règles.
  • Douleur latéralisée au bas ventre.
  • Une hémorragie plus importante peut être le signe d’une complication.

 

Fausse couche spontanée

 

La fausse couche spontanée, ou avortement spontané, est un arrêt accidentel de grossesse précoce. Ce type de fausse couche survient dans 15% des grossesses. Ces arrêts spontanés de grossesse se manifestent majoritairement avant 12 SA (10 semaines de grossesse).  Dans la très grande majorité des cas, les causes de la fausse couche ne sont pas connues. Cependant, après deux fausses couches consécutives, votre médecin pourra rechercher une cause.

 

Quelles sont les causes de la fausse couche ?

 

Dans la très grande majorité des cas, la fausse couche fait partie des phénomènes naturels. Il s’agit d’un œuf « inadéquat » qui ne peut pas se développer.  Cela ne préjuge en rien de grossesses normales ultérieures. Mais encore certains facteurs existent :

  • Un âge maternel supérieur à 40 ans.
  • Des maladies génétiques parentales.
  • Des antécédents d’avortements spontanés répétés (plusieurs fausses couches à la suite).
  • Des pathologies maternelles générales : troubles de la coagulation, maladies immunitaires, infections.
  • Une anomalie dans le caryotype d’un des deux parents.
  • Des pathologies maternelles utérines : fibromes, malformations, infections.

 

Quand il n’y a pas de symptômes

 

Parfois, on ne ressent aucun signe avant-coureur de la fausse couche. La découverte d’une fausse couche spontanée sera alors fortuite : on s’aperçoit lors de l’échographie, que l’œuf a cessé de se développer.

 

Comment se déroule une fausse couche ?

 

L’évolution d’une fausse couche spontanée peut être marquée par :

  • Une évacuation spontanée du sac gestationnel de la cavité utérine.
  • Une évacuation spontanée incomplète de la cavité utérine.
  • Des saignements plus ou moins abondants.
  • Une rétention du sac dans la cavité utérine.

 

Dans tous les cas, une surveillance de l’expulsion complète du sac gestationnel est réalisée par des échographies de contrôle régulières.

 

Que faire après une fausse couche ?

 

Après une fausse couche spontanée précoce, une pilule peut être prescrite afin d’espacer la survenue d’une prochaine grossesse. Il s’agit également de ne pas initier de nouvelle grossesse trop précocement. En effet, le vécu d’une fausse couche nécessite parfois un certain recul et une prise en charge psychologique, même si certains couples souhaitent, avec raison, remettre en route rapidement une grossesse. Dans la majorité des cas, la fertilité n’est pas altérée après une fausse couche.  Des examens complémentaires ne sont engagés qu’après des épisodes répétés de fausses couches.

 

Attention ! Si vous êtes Rhésus négatif, les saignements provoqués par la fausse couche spontanée imposent des précautions, surtout si votre compagnon est de groupe Rhésus positif. Une injection d’immunoglobulines (appelées anti-D) est effectuée dans les trois jours qui suivent les premiers saignements ou l’expulsion.

 

Accouchement prématuré

 

Quand parle-t-on d’accouchement prématuré ?

 

La prématurité se définit par un accouchement avant 37 SA. La grande prématurité est évoquée entre 28 et 32 SA, la très grande prématurité entre 26 et 27 SA et enfin, on parle d’extrême prématurité pour les naissances survenant avant 26 SA.

 

Quelles sont les causes d’un accouchement prématuré ?

 

Les causes sont multiples. On retrouve de façon récurrente certaines situations :

  • La présence d’un fibrome utérin qui se développe dans la cavité utérine.
  • Une malformation utérine.
  • Un traumatisme abdominal survenant pendant la grossesse.
  • Une béance du col (ouverture du col).
  • Les infections vaginales ou urinaires.
  • Un liquide amniotique infecté.
  • Un retard de croissance.
  • Un excès de liquide amniotique.

 

Quels sont les facteurs favorisant un accouchement prématuré ?

 

  • L’antécédent d’accouchement prématuré ou de fausses couches tardives.
  • Les conditions difficiles de travail avec des trajets longs.
  • Le contexte socio-économique défavorable.
  • La mauvaise surveillance de la grossesse.
  • La prise de toxique (tabac, alcool etc.).

 

Quels sont les risques pour votre enfant ?

 

Les risques peuvent être nombreux selon le terme, il peut s’agir de problèmes de poids, de respiration, d’hypothermie, de digestion, de complications hépatiques ou encore cérébrales.

 

Diabète gestationnel

 

Le diabète gestationnel se définit comme un diabète survenant pendant la grossesse, le plus souvent à partir du 2ème trimestre. Chez toutes les femmes, les hormones de la grossesse réduisent l’action de l’insuline.

 

Certains facteurs de risque prédisposent au diabète gestationnel :

  • Des antécédents familiaux de diabète.
  • Des antécédent de diabète gestationnel lors d’une grossesse précédente.
  • Un âge supérieur à 35 ans.
  • L'obésité.

 

En cas de découverte d’un diabète gestationnel, l’élément primordial est une alimentation équilibrée. Il est conseillé de maintenir une activité physique. Si malgré cela, la glycémie reste élevée, le diabétologue peut proposer d’ajouter un traitement par injection d’insuline.

 

La majorité des femmes avec un diabète gestationnel accoucheront d’un bébé en bonne santé. Néanmoins, des complications peuvent exister en particulier lorsque le diabète n’est pas pris en charge : gros enfant de poids supérieur à 4 kg qui augmente le risque d’accouchement par césarienne, hypoglycémie néonatale et ictère. Le diabète gestationnel disparaît généralement après l’accouchement, mais un tiers des femmes vont ultérieurement développer un diabète de type II. Favoriser l’allaitement, la perte de poids en cas de surpoids et le maintien d’une activité physique peut éviter l’évolution vers ce type de diabète.

 

Hypertension artérielle de la grossesse

 

Il s’agit d’une pathologie fréquente qui survient dans 8% des grossesses. Dans la plupart des cas, l’hypertension disparaît après l’accouchement.

 

L’évaluation de la tension artérielle au-dessus de 14/9 est responsable de mauvais échanges sanguins entre vous et votre bébé au travers du placenta. Elle est associée à un passage de protéines dans les urines car le rein est altéré par un excès de tension artérielle.

 

Les conséquences les plus fréquentes sont des bébés de « petits poids de naissance », ainsi que la faible quantité de liquide amniotique autour du bébé. Dans les formes graves, le danger vous concerne ainsi que votre bébé : vous souffrirez de maux de tête violents, de gonflements des mains et du visage, de troubles de la coagulation et, au pire, un état de convulsions avec perte de connaissance appelé « crise d’éclampsie ». Il est donc important de consulter si vous ressentez ces symptômes.

 

Le traitement repose sur des médicaments antihypertenseurs et parfois un déclenchement de l’accouchement. Dans les cas les plus graves, une naissance par césarienne sera proposée avant terme.

 

Bien souvent, cette hypertension artérielle nécessitera une hospitalisation avec contrôle des tensions artérielles et des prises de sang régulières qui permettront à votre obstétricien de décider d’une naissance dans les meilleurs conditions. En fonction  du terme et de la gravité de l’hypertension, il pourra être nécessaire de vous référer dans une maternité de niveau II ou III, qui pourra prendre en charge la réanimation du prématuré. 

 

 

Placenta bas inséré

 

Le placenta est l’organe qui nourrit votre bébé et lui sert aussi de poumon et de rein. C’est le cordon, qui contient deux artères et une veine, qui relie votre bébé au placenta. Dans l’immense majorité des cas, le placenta se place naturellement vers le haut de la cavité utérine, loin du col et donc de l’endroit où va passer votre bébé à la naissance.

 

Lorsque le placenta est anormalement bas, il s’agit d’un placenta inséré bas, c’est-à-dire vers la sortie du bébé. Il peut se trouver près du col de l’utérus, là où il va sortir. Le diagnostic de placenta prævia se fait souvent à l’échographie du 3èmetrimestre, mais peut être fait avant s’il apparaît des saignements de sang indolores, spontanés ou après un rapport. En cas d’un saignement, il faut bien sûr que vous consultiez en urgence, dans la maternité la plus proche.

 

Si le placenta recouvre totalement le col utérin, il s’agit d’un placenta prævia recouvrant : une césarienne est la seule solution pour faire naître votre bébé.

 

Lorsqu’au cours de l’échographie du 3ème trimestre, votre médecin découvre que le bord du placenta affleure l’orifice interne du col de l’utérus, il vous propose une nouvelle échographie à 37 SA, voire le jour de la mise en route du travail. Cela permet de s’assurer que la position du placenta est suffisamment loin du col pour envisager un accouchement dans de bonnes conditions de sécurité, le risque étant un saignement du placenta lors de la dilatation du col.

 

Excès de liquide amniotique (hydramnios)

 

Le liquide amniotique est, pour l’essentiel, le liquide sécrété par les reins du bébé, c’est-à-dire son urine. Il peut être en excès et être responsable d’une augmentation franche chez la mère du volume abdominal, qui entraîne le plus souvent des contractions utérines et des présentations anormales du fœtus : présentations du siège (tête en haut) ou en travers.

 

La cause principale de cette augmentation de liquide amniotique est le diabète gestationnel ou certaines malformations du tube digestif, très rares, mais pouvant nécessiter une prise en charge spécifique à la naissance.

Mais très fréquemment, on ne trouve pas de cause à l’excès de liquide.

 

Diminution du liquide amniotique (oligo-amnios)

 

Ce diagnostic sera confirmé à l’échographie. Bien entendu, votre médecin en recherchera la cause, et en particulier une possible rupture prématurée des membranes. Dans ce cas, la maman se plaint d’un écoulement plus ou moins permanent, évoquant une fuite d’urine. Il s’agit en fait d’une rupture de la poche des eaux.

 

En dehors de la rupture prématurée des membranes, la diminution de liquide peut avoir pour cause l’hypertension artérielle. Dans ce cas, le placenta assure moins bien les échanges entre votre enfant et vous. L’hypertension gêne le développement de votre bébé qui est de petit poids et qui urine peu, ce qui entraîne la baisse de volume de liquide.

 

Toxoplasmose

 

La toxoplasmose est une infection transmise par un parasite, le toxoplasma gondii. Ce parasite se trouve dans les intestins du chat ou d’autres espèces animales, dans les muscles des bovins et des ovins, mais aussi dans la terre. La toxoplasmose peut être contractée en portant ses mains à la bouche après avoir jardiné ou changé la litière du chat, ou encore en mangeant de la viande contaminée mal cuite ou des légumes mal lavés. Après une première contamination, vous êtes immunisée à vie grâce à la présence d’anticorps spécifiques dans le sang.

 

Rubéole

 

La rubéole est une affection virale relativement bénigne survenant le plus souvent dans l’enfance ; 95% des femmes enceintes sont immunisées soit parce qu’elles ont contracté le virus durant leur enfance, soit parce qu’elles ont été vaccinées.

Un bilan est réalisé systématiquement en début de grossesse. L’infection passe le plus souvent inaperçue. Si la rubéole survient pendant la grossesse, le virus peut atteindre le bébé. Les conséquences sont variables selon le terme. Le moment le plus problématique se situe entre 8 et 11 SA, avec un risque de malformations multiples. Le risque devient minime après 18 SA. La vaccination est la seule prévention qui soit efficace. Le vaccin est contre-indiquée pendant la grossesse mais doit être fait après la naissance du bébé aux femmes qui n’avaient pas d’anticorps.

 

Infection à cytomégalovirus

 

Le cytomégalovirus donne un syndrome viral qui peut ressembler à la grippe (fièvre, maux de tête, ganglions). Il survient le plus souvent dans l’enfance, ce qui explique qu’une majorité des femmes enceintes n’ont rien à craindre de ce virus. Si l’infection survient pour la première fois pendant la grossesse, elle est le plus souvent sans danger pour le bébé. Néanmoins, elle peut rarement donner un retard de développement, des malformations du cerveau ou une surdité.

 

Varicelle

 

La varicelle est une infection virale due au virus varicelle zona. 95% des femmes enceintes sont protégées pendant leur grossesse car elles ont déjà présenté l’infection durant leur enfance. La survenue de la varicelle au cours de la grossesse comporte des risques à la fois maternels et fœtaux. Les complications maternelles sont celles liées à la survenue de la varicelle chez l’adulte, avec un risque plus fréquent de complications pulmonaires. Pour le bébé, les risques dépendent du moment d’exposition. La varicelle congénitale est due à une infection qui survient entre 8 et 24 SA. La transmission fœtale est estimée entre 6 et 8% avec un risque d’atteinte fœtale faible (1 à 2 %). Le virus peut être à l’origine d’une atteinte des membres, de cicatrices au  niveau de la peau, d’anomalies cérébrales ou d’un retard de croissance. Au-delà de 24 SA, il n’y a plus de risque fœtal sauf lorsque la varicelle survient à proximité de l’accouchement. En effet, lorsque l’éruption survient 5 jours avant et 2 jours après la naissance, elle peut entraîner une varicelle néonatale dans 25 à 50 % des cas.

 

Herpès

 

Il existe deux types d’herpès : l’herpès génital et l’herpès labial (autour des lèvres). Le virus peut se transmettre au cours de l’accouchement et induire un herpès néonatal. En cas de première infection survenant dans le mois qui précède l’accouchement ou en cas de poussée 7 jours avant l’accouchement, le risque de transmission au bébé est important. La prévention passe par le signalement au médecin des antécédents d’herpès génital. Il est conseillé d’avoir des rapports protégés en fin de grossesse en cas d’antécédent d’herpès chez l’un ou l’autre des partenaires. En fonction des symptômes survenant trop près de l’accouchement, une césarienne pourra être réalisée.

 

Infections urinaires

 

Les infections urinaires correspondent à la présence de bactéries dans les urines, elles sont également appelées cystites. Elles sont plus fréquentes pendant la grossesse. Le plus souvent, l’infection urinaire ne donne aucun signe. Néanmoins, elle peut se révéler par des brûlures urinaires, une plus grande fréquence des mictions, des urines troubles ou une pesanteur au niveau du pelvis. Elle peut donner des contractions utérines et être à l’origine d’une menace d’accouchement prématuré. Une fièvre associée à des douleurs dans le dos peut faire craindre une infection du rein. Pour prévenir la cystite, il est conseillé de boire au moins 1,5 litre d’eau par jour et d’éviter le port de sous-vêtements synthétiques.

 

Dans la très grande majorité des cas, tout se passe bien. Certaines pathologies sont cependant fréquentes au 8ème mois et il est important que vous soyez informée, afin de consulter si vous avez l’impression de ressentir certains symptômes.

 

Epilepsie

 

Cette maladie est habituellement connue et fait l’objet d’un traitement. Si vous souffrez d’épilepsie, il faut parler de votre projet de grossesse à votre neurologue pour qu’il adapte le traitement et qu’il vous suive en collaboration avec l’obstétricien.

 

Maladies cardiaques

 

Si une maladie cardiaque est connue et suivie, il importe de faire un bilan chez le cardiologue pour savoir quelles seront les précautions à prendre en cours de grossesse et d’accouchement.

 

Fibrome utérin

 

Dans l’ensemble, les fibromes ont un retentissement faible sur la grossesse. La complication la plus fréquente est l’apparition, au niveau du fibrome, de douleurs qui sont pénibles pour la femme mais sans gravité pour la grossesse.

 

Par ailleurs, selon la localisation, la taille et le nombre des fibromes, un risque d'accouchement prématuré peut être observé.

 

Grossesses tardives (plus de 38 ans)

 

Ces grossesses comportent un certain nombre de particularités : augmentation du taux de fausses couches précoces, augmentation du risque de trisomie 21, augmentation des cas d’hypertension artérielle et de diabète gestationnel.

 

Grossesses gémellaires

 

Ces grossesses comportent principalement trois risques :

  • Risque de prématurité, près de la moitié des jumeaux naissent prématurément.
  • Risque d’hypertension artérielle.
  • Risque d’hypotrophie, c’est-à-dire un faible poids d’un des enfants ou des deux.

 

Infertilité

Grossesse

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